Bibliothèque - Place de l'Europe - 71160 Paray-le-Monial
EXPOSITION
DU 27 OCTOBRE AU 15 NOVEMBRE 2012
création visuel : Éric Pasquiou |
« Trait d’union » est un projet né sous l'impulsion de Ludovic Gueriaud, avec l'envie de voir des mots accompagner quelques-unes de ses images.
Au fil du temps et des rencontres, le projet fût proposé, par l’intermédiaire de Patrice Ferrari de l’association Esox Lucius, à Christine Vallin, qui accepta d’y travailler.
Les images de Ludovic Gueriaud présentes dans l’exposition sont extraites d’une multitude d’autres de ses archives, oscillant entre la vision d’une réalité souvent ordinaire et une autre quasi abstraite. Toutes ont en commun d’évoquer pour lui un souvenir, une pensée, la conviction d’un unique fil.
Au final l’ensemble révèle une sorte de « road movie » chaotique, miroir express d’une tranche de vie à travers une narration distante, contenue.
Vint ensuite la création du texte. Au commencement du travail d’écriture, Christine Vallin rencontre Emmanuel Gunther qui s’intéresse au projet, et aussitôt y prend part.
Ils entament un dialogue porté par les images. S’invente alors une histoire, celle d’un homme et d’une femme pour qui chacune des photos éveille les souvenirs d’un amour à fleur de peau.
Un récit où chacun prend soin de n’évoquer que le meilleur, occultant une issue sans doute inévitable.
« Trait d’union », à l’image du signe typographique qui à la fois unit et sépare deux mots, illustre le lien et les sentiments entre deux histoires et deux êtres. Deux histoires parallèles proposées comme un livre ouvert où chacun pourra se plonger, se retrouver et, peut-être, tenter d’autres possibles.
Les pensées ébauchées se prolongent, en voix murmurées dans la pénombre.
— Tu te souviens ?
— Du trait d’union au point final. Je me souviens…
Au fil du temps et des rencontres, le projet fût proposé, par l’intermédiaire de Patrice Ferrari de l’association Esox Lucius, à Christine Vallin, qui accepta d’y travailler.
Les images de Ludovic Gueriaud présentes dans l’exposition sont extraites d’une multitude d’autres de ses archives, oscillant entre la vision d’une réalité souvent ordinaire et une autre quasi abstraite. Toutes ont en commun d’évoquer pour lui un souvenir, une pensée, la conviction d’un unique fil.
Au final l’ensemble révèle une sorte de « road movie » chaotique, miroir express d’une tranche de vie à travers une narration distante, contenue.
Vint ensuite la création du texte. Au commencement du travail d’écriture, Christine Vallin rencontre Emmanuel Gunther qui s’intéresse au projet, et aussitôt y prend part.
Ils entament un dialogue porté par les images. S’invente alors une histoire, celle d’un homme et d’une femme pour qui chacune des photos éveille les souvenirs d’un amour à fleur de peau.
Un récit où chacun prend soin de n’évoquer que le meilleur, occultant une issue sans doute inévitable.
« Trait d’union », à l’image du signe typographique qui à la fois unit et sépare deux mots, illustre le lien et les sentiments entre deux histoires et deux êtres. Deux histoires parallèles proposées comme un livre ouvert où chacun pourra se plonger, se retrouver et, peut-être, tenter d’autres possibles.
Les pensées ébauchées se prolongent, en voix murmurées dans la pénombre.
— Tu te souviens ?
— Du trait d’union au point final. Je me souviens…