Galerie

L’ouverture de cette galerie a été rendue possible grâce aux soutiens généreux des artistes qui comme nous subissent les impacts de la crise sanitaire.
Résister, continuer
ensemble

 

Si vous souhaitez acquérir une œuvre présente sur cette galerie, nous vous invitons à prendre contact auprès de l’association.

 

MARC CAMILLE CHAIMOWICZ

 
Avoir Marc Camille Chaimowicz chez soi

C’est le cas depuis plus de trente ans, belle rencontre, suivie de collaborations multiples, d’échanges de toutes sortes, de voyages, d’expositions, de longs moments de discussions, compréhension réciproque, l’oubli impossible.

Maintenant, entouré de toutes ces œuvres subtilement originales où apparaissent des formes d’une autre époque d’un troublant modernisme, la féminité en transparence, le réel se glisse dans l’abstrait, couleurs chaimowiczienne (ne cherchez pas ce mot dans le dictionnaire c’est un langage entre nous deux)   

L’heureux collectionneur.

 


 

 
 
 


 




 

 EVA DUCRET

 


 
Eva Ducret

 

 

JACQUELINE GUEUX

 

Inconciliable, (recto) 2020, vitre sur plâtre, 24 x 30 cm, de la série des déssouverrages

 

Inconciliable, (verso) 2020, vitre sur plâtre, 24 x 30 cm, de la série des déssouverrages
 

Tenir, 2018, tirage numérique à jet d'encre sur papier mat 260gr, 112 X 61 cm

 

Jacqueline Gueux
 

 

PATRICE CARRÉ 

 


 



 




ERIC PASQUIOU


Eric Pasquiou



PIERRE-YVES FREUND 

Boites Noires (seconde série) _ 2017 _ plâtre anthracite _ 2 pièces.

 

 

 

 

 

Pierre-Yves Freund

 

 

ERIC LANIOL


 





PATRICE CARRÉ

Loin hop, Édition Tombolo Presses, février 2020

 


 

Patrice Carré


VINCENT GANIVET

 

Martyr de Nicolas, 80 x 150 cm - gravure sur bois
 

 

Vincent Ganivet
 



PATRICE FERRARI

 

 

Pièce issue d'une série d'images de bandes dessinées détournées, pastichées, imprimées sur bâches ou sur papiers, faisant référence avec humour à l'histoire de l'art, 2007.



JULIAN LEMOUSY

Geste de barrières 3, 2020 - 60 cm x 32 cm - gravure sur bois

Geste de barrières 1, 2018 - 50 cm x 70 cm - gravure sur bois

 

Julian Lemousy
 

 

JULIEN BLAINE

" Encore 4, Non 3, Non 2, Non 1, Non 0
  Et après je ne produirai plus que des livres :
  je serai un auteur de cabinet ! " 

 

Julien Blaine



PLMC Darnaud - Goradesky




 
 
 

 
 


 

PLMC

 

 

JEAN-SÉBASTIEN TACHER


Camille (fille de Métabus), 30 x 26 x56 cm, grès émaillée, 2020




Octopus, 32 x 27 x 33 cm, grès émaillée, 2020

Jean-Sébastien Tacher
 

 

SYLVIE BONNOT

Héliogravure de l'artiste Sylvie Bonnot produite par Esox Lucius avec le soutien de la Direction régionale des Affaires culturelles Bourgogne-Franche-Comté pour l'exposition "Le Baïkal Intérieur" que lui a consacrée la galerie du Bleu du ciel, Lyon 2018.

Sylvie Bonnot
 

 

BENJAMIN GRIVOT 

" Mes différentes expérimentations sont faites de déplacements d'objets et de matériaux qui ont souvent un pied dans l'actualité ou sont liés à un engagement politique. Plus récemment, je me mets en scène dans mon travail à travers des performances et je tente de rendre mes travaux plus percutants.

En 2015, je réalise un mémoire sous forme d'enquête sur le mouvement punk de nos jours. Cette recherche s'est construite autour de moments de rencontre marquants avec différents artistes, musiciens et autre acteurs de cette scène. de cette recherche et de ces rencontres naissent des réalisations plus engagées et avec un parti-pris plus fort.

Je questionne les rapports d'autorité et de force dans notre société en puisant directement dans mon environnement direct ", Benjamin Grivot.


Du jambon, 2020, peinture acrylique sur toile, 40cm * 40cm

 
 

Crate ES1955, 2019 , bois de palettes, pièces détachées de guitare


Benjamin Grivot

 

 

RAFAEL MAHDAVI

Après avoir parcouru le monde, d’origine américano/Iranienne, Rafael Mahdavi s’est installé au début des années 80 à Chalmoux, banlieue de Bourbon-Lancy (71).
Dans son atelier recouvert de verdure, accolé à sa maison, il fabrique tout, la peinture est son médium le plus courant, mais l’écrit n’est pas en reste et s’amplifie depuis sa découverte des immenses possibilités offertes par l’internet. La sculpture maintenant moins pratiquée fut un grand moment de sa vie, où la suite qu’il donna à l’œuvre de David Smith allait bien au delà de l’expérience.

Sa peinture lui ressemble, depuis le début des années 70 elle sillonne le monde, apparait dans les meilleurs lieux d’expositions, montrée de New-York à Téhéran, Londres, Paris, Cologne….avec une forte audience en Espagne.

Sa pratique de l’art issue d’une grande connaissance des siècles passés où rien ne lui a échappé, laisse à sa production toutes les voies possibles, la peinture étant la plus visitée.
Lors de sa première exposition au musée de Bourbon-Lancy il y fit entrer les paysages de Chalmoux, grands formats peints à l’huile sur châssis, approche technique classique s’il en est, mais surtout, touchante déclaration d’amour à ses paysages, son territoire, sa vue de tous les jours où il utilise toutes les couleurs pour donner force à sa vision.

Ses dernières productions sont marquées par de sombres clartés, prophétiques, apocalyptiques, dont il est le personnage principal.   

Jean-Paul Guy novembre 2020

Extrait revu, du texte pour le catalogue édité à la suite de la donation d’un triptyque, faite par Rafael Mahdavi  en 2020 au musée Saint-Nazaire à Bourbon-Lancy. 

 

"Rose rouge dans un verre d'eau flottant au-dessus de  planches", 50x50cm, huile sur bois


Rafael Mahdavi



MATHIEU MERCIER

" L’œuvre de Mathieu Mercier, par son hétérogénéité, se joue des critères que les analyses critiques ont utilisés pour la décrire. Objectité, appropriation, ready-made, simulacre, fonctionnalisme détourné, abstraction… Ils sont corrects pour la plupart mais leur énumération participe d’une nomenclature qui confine à l’absurde. Malgré la richesse des références aux sciences humaines, naturelles et sociales, les associations qu’il produit conservent une part d’irréductibilité au sein du régime contemporain de l'objet..."
Texte issu de l’entretien de Mathieu Mercier avec Gallien Dejean (Revue ZÉRO DEUX / 02 - 2012)


Drum & Bass I-Beam, 2002-2015 mixed media 100 x 98 x 16 cm


Sans titre (feuilles)2003, digital print, 27x37 cm   


Sans titre (grille), 2013, acier, 60 x 70 x 10 cm


Sans titre (nuage la nuit), 2019, digital print, 60 x 80 cm

 

Mathieu Mercier

 

 

HARALD FERNAGU 

Ces photographies furent produites pour l'exposition Eldorado en 2006 par Esox Lucius et présentées lors de l'exposition OR au Mucem en 2018.

 

 

 

 

 


Harald Fernagu

Eldorado

 

TUĞBA YÜKSEL

"L'homme ou la femme sont modelés par leur environnement, et cherchent à retrouver leur propre essence.", Tuğba Yüksel

 

Light (2015 - Paris) - 46,50 * 70 cm


Layer (2017 - Istanbul) - 33,21 * 50cm

 Tuğba Yüksel



PARTITIONS GRAPHIQUES - BERNARD POURRIÈRE

"L'imaginaire musicale du musicien est essentiel pour découvrir ces graphismes qui deviennent un langage codé", Bernard Pourrière

Partition Rouge vif, 2020, dessin numérique 70 X 50Cm 1/3, tirage papier photographique

Partition Noire A, 2019, dessin numérique 80 X 60Cm 1/3, tirage papier photographique


 
Notations et partitions

Vers le site de l'artiste
Documents d'artistes 

 

 

CE QU'IL ME RESTE DE LUI " - JONATHAN LEMIEUX 


Ayant été contraint d’annuler l’exposition de Jonathan Lemieux initialement prévue les 29, 30 et 31 mai, l’artiste nous propose une courte vidéo présentant l’objet de sa démarche artistique :






"Depuis près de dix ans, mon travail d’artiste explore la notion d’identité, la mienne en l’occurrence, celle-ci s’étant construite en opposition à mon père, ainsi qu’en réaction à son départ, son abandon et son indifférence envers ma sœur et moi. Aux beaux-arts, ma première vidéo s’intitulait Lettre à mon père, œuvre au moyen de laquelle je lui confiais ne plus avoir besoin de lui pour être heureux. Quelques années plus tard, je créais (RE)TRACE, une vidéo d’art autobiographique — primée aux Rencontres In&Out. Festival du Film Queer de Nice et Cannes en 2015 — où je disais vouloir effacer toute mémoire de mon père dans ma vie. Puis, l’an dernier, je réalisais Éric & Moi, une docu-fiction — primée aux Rendez-vous Québec Cinéma en 2019 — qui relatait l’impact de l’absence de mon père sur mon identité propre..." Jonathan Lemieux

 
Dossier de presse

Jonathan Lemieux



GENTARO MURAKAMI

Né à Imabari, Japon
Vit et travaille à Dijon, France

« Inspirée par les films de Yasujirô Ozu (1903 - 1963) : "Il était un père (1942)" et "Herbes flottantes (1959)" dans lesquels se déroulent des scènes de pêche.

Dans mes peintures, l'idée de départ consistait à faire le lien entre les tableaux et l'espace d'exposition, à l'aide de la canne à pêche, et à conduire ainsi le regard du spectateur vers le hors-champ du cadre. »

"Bleu-pêche" / huile sur toile / 100 x 100 cm / 2019 / courtesy de la galerie lange + pult


"Jeune pêcheur" / huile sur toile / 61 x 51 cm / 2019 / collection privée


"Deux pêcheurs" / huile sur toile / 100 x 100 cm / 2020 / courtesy de l'artiste

 
"Vieux pêcheur" / huile sur toile / 60 x 90 cm / 2019 / courtesy de l'artiste


"La pêcheuse" / huile sur toile / 120 x 85 cm / 2020 / courtesy de l'artiste


"Tel père, tel fils" / huile sur toile / 80 x 120 cm / 2019 / courtesy de la la galerie lange + pult



 "Les Pêcheurs" / huile sur toile / 75 x 110 cm / 2019 / collection privée

Gentaro Murikami fait partie des artistes en résidence à l’école de Baudrières en compagnie de Benjamin Grivot et de Kwangil Her : résidence portée par Esox Lucius, financée par la direction régionale des affaires culturelles Bourgogne-Franche-Comté et actuellement en stand by.


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